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Channel: Commentaires sur : Pire que le déculottage : le reculottage !
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Par : Nelly

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Bonsoir. Émilie,
Déjà un bon point pour toi « tu as conscience qu’elles sont utiles . Cela signifie qu’elles ont leur rôle éducatif.
Mais je pense que tu n’en reçois que dans de rares cas. Et sûrement quand tu te laisses emporter par ton insouciance.
Comment t’annonce-t-on la punition ?
As-tu conscience quand tu commets la faute de ce qui te pend… aux fesses ?
Tes fautes sont-elles découverte ou bien est-ce toi qui avoues ?
Est-ce toi qui te déculottes et te retrousses ?
Moi j’essayais de cacher mes fautes sans y réussir car elles étaient tôt ou tard découvertes.
La fessée m’était annoncée du style « Nelly j’en ai assez ! Tu peux préparer tes fesses ! Elles vont te faire t’assagir » et je devais me retrousser et baisser ma petite culotte jusqu’aux genoux. Après la fessée, et bien souvent un stage d’une 1/2h au coin, je pouvais me reculotter devant maman, souvent comme toi maladroitement et honteuse avec des larmes dans les yeux, et cela même grande jeune fille.
Bises Nelly


Par : Louis

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Bonjour Florianne, bonjour à tous.
C’est vrai que le reculottage peut être pire que le déculottage. Que ce soit ma mère ou mes maîtresses d’école, elles se chargeaient toujours elles-mêmes de me déculotter. Mais c’était toujours à moi ensuite de me reculotter.
J’ai souvenir d’un jour où ma mère, encore plus en colère que d’habitude sans doute, avait attrapé mon pantalon et mon slip blanc de coton et les avait enlevés complètement, les envoyant valser au milieu de la pièce. Après ma cuisante fessée, je dus « démêler » mes deux vêtements, qui étaient enchevêtrés entre eux et avec un de mes chaussons. J’essayais d’aller vite mais, paralysé par le chagrin et la honte sans doute, j’eus un mal fou à tout remettre en ordre. Comme toujours, je voulais me reculotter rapidement, mais cette fois ce fut tout le contraire. Et maman qui, impatiente, me donna une claque supplémentaire sur mes fesses pourtant bien rouges en me disant : « Tu te dépêches un peu, je n’ai pas que ça à faire » !
Deux autres fois (une fois avec ma mère, une fois avec ma maîtresse de CP), mon short, qui avait été baissé juste avant la fessée, était tombé par terre pendant son déroulement. Je ne vous dis pas la honte quand je dus le ramasser après la punition !
Amicalement.
Louis

gallie050753@yahoo.fr

Par : Louis

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Bonjour Nelly.
Pour mon copain Gérard, qui n’a pas su tenir sa langue, je ne sais pas s’il était lui-même fessé chez lui. Pour Jean-Philippe, qui apparemment était resté discret, je sais qu’il s’en prenait aussi chez lui de temps en temps par sa grand-mère (suite à des problèmes familiaux, il était élevé par ses grands-parents). Ma mère m’avait d’ailleurs fessé une autre fois devant sa grand-mère ! Quelques années plus tard, nous nous racontions nos histoires vécues avec Jean-Philippe, nous avions environ 13 ou 14 ans… et nous jouions à l’école, où nous étions tour à tour maître d’école et élève. Inutile de préciser que nous étions aussi sévères l’un que l’autre. Je dois préciser que mes fessées, je les ai reçues fin des années 50 et toutes les années 60.
Amicalement.
Louis

Par : Jean-Paul

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Merci cher Claude pour votre approbation à ma détermination à faire bénéficier mes 2 garçons de l’éducation traditionnelle stricte que m’appliquaient mes parents… Je dis bien  » bénéficier »… Car je considère que c’est une grande chance d’avoir appris à obéir et travailler même au détriment de l’intégrité de mes jeunes fesses souvent mises a nues et striées des morsures des lanières du martinet paternel… J’ai remercié mon père de m’avoir inculqué ainsi les principes de base d´une bonne éducation et je me suis fait un devoir d´user des mêmes méthodes pour mes garçons… Oh ! rassurez-vous… le recours au martinet n’est à mon sens que la solution ultime à une récidive caractérisée… donc rare. Une explication précise des motifs précède la correction qui est suivie du baiser de pardon et de paix sans exposition humiliante comme cela se pratiquait de notre temps… Ces quelques précisions vous rassurent-elles, cher Claude ?

Par : Nelly

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Oui cela était encore bien courant, moins ouvertement que dans les années 50-60, mais on ne cachait pas quand il y en avait eu une de donnée ou même pour en faire la promesse. Et quand la bêtise était assez assez grave, elle était administrée de suite.
De nos jours, ce n’est plus le cas et même si elle est encore présente, elle est administrée en privé, que e cela ne se sache pour éviter le qu’en-dira-t-on.
Est ce une bonne chose ?
Bises

Par : Marco

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Bonjour Chris,
désolé de vous répondre si tardivement. Cette fessée me fut donnée par un moniteur pour avoir chahuté et causé un arrêt momentané du téléski. Ou, j’ai eu d’autres fessées dont celle racontée sur ce blog « fessées d’écolier -2ème partie ».
Cordialement
Marco

Par : Marco

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Bonjour Chris,
désolé pour l’attente à vous répondre. Cette fessée fut donnée par un moniteur pour avoir chahuté et provoqué l’arrêt du téléski. Oui, j’ai reçu d’autres fessées lors de ce séjour – voir  » Fessées d’écolier 2e partie » en liste du blog.
Bien à vous
Marco

Par : CLAUDE

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Bonjour Floriane. Oui le reculottage peut-être plus redoutable que le déculottage, surtout en public. C’est pourquoi je suis très réservé sur les châtiments corporels en public. Pourquoi ajouter une telle humiliation ? A mon sens il faut respecter la dignité du puni. Certes, il doit payer pour sa faute, mais à quelques exception près, cela peut se faire en privé sans être pour autant moins dissuasif. Mon témoignage s’appuie sur mon vécu et non sur des principes. Cordialement. CLAUDE.


Par : Edmée

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Bonjour Claude, dans de nombreux commentaires, vous réitérez souvent votre opposition morale aux châtiments corporels publics en raison de l’humiliation qu’ils feraient subir aux punis-es. Votre considération s’appuierait sur votre vécu et non pas sur une position de principe, affirmez-vous.
Vraiment ?…
Vous êtes-vous jamais posé cette unique question : « si j’avais été châtié corporellement, et à derrière nu, une seule fois en public dans ma jeunesse, devant toute votre classe ou n’importe où à l’extérieur devant des étrangers, n’aurais-je pas épargné à mes parents le devoir d’user autant de fois du martinet durant toute mon adolescence ? »
Cette introspection ne sera peut-être pas de votre goût, Claude, et rien ne vous oblige à la tenter malgré mon amicale insistance. Cordialement, Edmée

Par : CLAUDE

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Bonjour Edmée. Cette introspection est tout à fait de mon goût et votre amicale insistance est pour moi une preuve de sympathie. De fait, je ne me suis jamais posé la question que vous évoquez. Peut-être avez-vous raison. Les deux seules fois où j’ai été fouetté en public m’ont en effet laissé un goût particulièrement amer. Mais quand même, (à tort ou à raison?), je persiste à penser que l’on peut punir sans humilier. Certes, l’humiliation comme je l’ai vécue, est particulièrement dissuasive, mais pour moi elle porte atteinte à la dignité du puni. Cela vous paraîtra peut-être étrange, mais c’est ainsi. Au demeurant, loin de moi la prétention d’ostraciser les Maîtres et Maîtresses qui ont eu recours dans leur établissement aux châtiments corporels. J’ai eu, je le reconnais, la chance d’être épargné de si humiliantes corrections. Ne condamnant personne, (il est déjà assez difficile d’éduquer!), je sollicite simplement le respect de mon opinion, je dis bien : « opinion » et non « condamnation » ! Je respecte tous ceux qui ont la lourde charge d’éduquer et me garderai bien de dicter quelque règle que ce soit en ce si délicat domaine. Avec toute ma sympathie. CLAUDE.

Par : CLAUDE

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Re-Bonjour Edmée. « Introspection » disiez-vous. Combien le mot est juste ! Dans mon commentaire précédent, que je ne renie pas, il y a cependant un facteur que j’ai omis. Mes parents étaient des catholiques fervents sans être extrémistes. Or, comment fouetter un garçon devant des tiers, fussent-ils de la famille, sans que celui-ci ne soit contraint d’exhiber ses « bibelots » devant cette « cour de justice »? Scandaleuse impudicité ! Je pense que ceci a beaucoup joué dans le fait que, à deux exceptions près, je n’ai pas été fouetté en public. J’en remercie le Seigneur, car les deux seules fois où j’ai écopé d’une telle fouettée, j’en ai été particulièrement mortifié ! Je suis très sensible à l’intérêt que vous me portez qui m’a conduit à approfondir l’introspection à laquelle vous m’avez, à juste titre, invité. Grâce à vous, je comprends mieux cette situation, finalement privilégiée, dont j’ai joui ! Avec toute ma sympathie. CLAUDE.

Par : Edmée

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Bonsoir Claude, merci d’avoir pris ma question avec le sourire et d’y répondre en toute franchise. Vous avez connu par deux fois la honte d’une fouettée en public qui vous a laissé « un goût particulièrement amer ». Que devrais-je en conclure sinon que cette mortification passagère ne vous a pas empêché de vous entêter dans vos mauvais penchants ? Ou que vos parents auraient manqué de fermeté dans leurs leçons ? Quoi qu’il en soit, je vous renouvelle mes sentiments amicaux. Edmée

Par : CLAUDE

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Bonsoir Edmée. Merci de votre réponse. Je ne pense pas m’ être « entêté dans mes mauvais penchants », et mes parents n’ont pas « manqué de fermeté dans leurs leçons ». Simplement j’ai un caractère difficile, et, jusqu’à un âge avancé insolent. Mes parents ont sans faiblesse et avec succès lutté pour me remettre dans le droit chemin. Ils l’ont fait en fonction de leurs principes et je ne les en blâme pas loin de là ! Mais, de fait, si j’avais été pensionnaire dans un établissement privé pratiquant les châtiments corporels, je crois que j’aurais sans doute progressé plus vite. La vie en a décidé autrement. Très amicalement. CLAUDE.

Par : Edmée

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Bonsoir Claude, Claude, compte tenu du contexte religieux de votre famille, et la pudeur étant un sentiment communicable parmi ses membres, leur choix de vous discipliner sans publicité comme votre propre aversion vis-à-vis d’une démonstration publique sont parfaitement compréhensibles. Par conséquent, rien à ajouter sur une conception de l’éducation qui demeure impérativement une affaire privée. Ceci dit, il est indéniable qu’un châtiment corporel, et même une simple pénitence telle que la mise au coin, en présence de témoins n’a pas besoin de faire ses preuves, les témoignages des lecteurs du blog y pourvoient abondamment. Très cordialement, Edmée

Par : CLAUDE

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Bonjour Edmée. Merci de votre réponse. Vous m’avez aidé à mieux comprendre l’utilité des châtiments corporels en public et dans les écoles. Désormais, j’aurai une approche différente de ceux-ci dans les récits où ils seront présents. Très cordialement. CLAUDE.


Par : Emilie

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Oui Jean-Paul, ce sont mes parents qui me déculottent et me fouettent au martinet !
De bonnes fessées fesses nues que je me prends… Mais j’avoue que, même si sur le moment c’est très désagréable, ça fait tellement du bien !
Bises.

Par : Nelly

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Bonsoir. Émilie,
Déjà un bon point pour toi « tu as conscience qu’elles sont utiles . Cela signifie qu’elles ont leur rôle éducatif.
Mais je pense que tu n’en reçois que dans de rares cas. Et sûrement quand tu te laisses emporter par ton insouciance.
Comment t’annonce-t-on la punition ?
As-tu conscience quand tu commets la faute de ce qui te pend… aux fesses ?
Tes fautes sont-elles découverte ou bien est-ce toi qui avoues ?
Est-ce toi qui te déculottes et te retrousses ?
Moi j’essayais de cacher mes fautes sans y réussir car elles étaient tôt ou tard découvertes.
La fessée m’était annoncée du style « Nelly j’en ai assez ! Tu peux préparer tes fesses ! Elles vont te faire t’assagir » et je devais me retrousser et baisser ma petite culotte jusqu’aux genoux. Après la fessée, et bien souvent un stage d’une 1/2h au coin, je pouvais me reculotter devant maman, souvent comme toi maladroitement et honteuse avec des larmes dans les yeux, et cela même grande jeune fille.
Bises Nelly

Par : Louis

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Bonjour Florianne, bonjour à tous.
C’est vrai que le reculottage peut être pire que le déculottage. Que ce soit ma mère ou mes maîtresses d’école, elles se chargeaient toujours elles-mêmes de me déculotter. Mais c’était toujours à moi ensuite de me reculotter.
J’ai souvenir d’un jour où ma mère, encore plus en colère que d’habitude sans doute, avait attrapé mon pantalon et mon slip blanc de coton et les avait enlevés complètement, les envoyant valser au milieu de la pièce. Après ma cuisante fessée, je dus « démêler » mes deux vêtements, qui étaient enchevêtrés entre eux et avec un de mes chaussons. J’essayais d’aller vite mais, paralysé par le chagrin et la honte sans doute, j’eus un mal fou à tout remettre en ordre. Comme toujours, je voulais me reculotter rapidement, mais cette fois ce fut tout le contraire. Et maman qui, impatiente, me donna une claque supplémentaire sur mes fesses pourtant bien rouges en me disant : « Tu te dépêches un peu, je n’ai pas que ça à faire » !
Deux autres fois (une fois avec ma mère, une fois avec ma maîtresse de CP), mon short, qui avait été baissé juste avant la fessée, était tombé par terre pendant son déroulement. Je ne vous dis pas la honte quand je dus le ramasser après la punition !
Amicalement.
Louis

gallie050753@yahoo.fr

Par : Jean-Paul

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Merci cher Claude pour votre approbation à ma détermination à faire bénéficier mes 2 garçons de l’éducation traditionnelle stricte que m’appliquaient mes parents… Je dis bien  » bénéficier »… Car je considère que c’est une grande chance d’avoir appris à obéir et travailler même au détriment de l’intégrité de mes jeunes fesses souvent mises a nues et striées des morsures des lanières du martinet paternel… J’ai remercié mon père de m’avoir inculqué ainsi les principes de base d´une bonne éducation et je me suis fait un devoir d´user des mêmes méthodes pour mes garçons… Oh ! rassurez-vous… le recours au martinet n’est à mon sens que la solution ultime à une récidive caractérisée… donc rare. Une explication précise des motifs précède la correction qui est suivie du baiser de pardon et de paix sans exposition humiliante comme cela se pratiquait de notre temps… Ces quelques précisions vous rassurent-elles, cher Claude ?

Par : Stéphanie

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Dans mon cas, c’est vrai que la seule punition efficace en cas d’insolence était la fessée immédiate, avec ou sans témoins, culotte baissée voire ôté complètement. Dans le cas de Floriane, ma mère m’aurait sans aucun doute fait mettre au coin les fesses nues devant tous les camarades. La honte devant tout le monde m’est arrivée jusqu’à mes quinze ans, et en privé l’année de mes 16 ans avec la menace de la donner en public si je recommençais. Je peux vous dire que je n’ai pas osé tenter !

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