Bonjour Floriane,
bien qu’étant un « ancien garçon » je me retrouve parfaitement dans ce que vous avez subi et éprouvé.
Cela me rappelle un épisode au moment d’une classe de neige. J’avais 9 ans et j’ai reçu une fessée juste après le cours de ski. Je portais un pantalon de ski, un fuseau, qui s’est retourné et enroulé à la manière de votre collant lors du déculottage. Après la fessée, j’étais aussi pressé que vous de me cacher et de recouvrir les parties châtiées.
Le reculottage fut plus compliqué que prévu car les gigotements et ruades avaient expulsé le fuseau et le slip partiellement de mes pieds (jambe droite libérée). Donc, j’ai dû m’agenouiller pour défaire mes bottillons puis les ôter, retirer fuseau et slip, remettre le slip à l’endroit et rester un bon moment en culotte petit bateau blanche pendant que je défroissais puis retournais le fuseau avant de le renfiler à l’endroit.
Bref, encore un long moment à m’exposer après cette punition.
Un reculottage compliqué fait donc aussi partie de la fessée !
Cordialement.
Marco
Par : Marco
Par : Marco
Autre impression :
la salopette-short ou la salopette tout court étaient des vêtements pouvant devenir très gênants l’été si l’on n’avait rien mis par dessous en haut.
Il y avait intérêt à être sage sinon en cas de bonne fessée le risque était grand de se retrouver direct juste en slip, puis tout nu dès que celui était baissé.
Vraiment une drôle d’impression…. Heureusement après dans le « feu de l’action » on n’y pensait plus.
Un peu le même principe que la combinaison une pièce des filles.
Cordialement.
Marco
Par : chris B
Marco: qui vous avez donné cette fessée votre père ou mère ou votre moniteur de ski ?
Avez vous eu d’autres fessées durant votre séjour à la neige ?
Merci par avance.
Par : Georges
Bonjour Floriane,
Voilà le récit d’une fessée bien sévère !… Pas seulement par le nombre de claques reçues -il m’est arrivé souvent d’en recevoir bien davantage-, mais par le contexte humiliant.
Fessée publique, déjà, et devant des jeunes gens que vous alliez devoir côtoyer encore, et cette horreur des sous-vêtements qu’il fallut enlever complètement, simplement pour pouvoir les remettre !…
Vous avez dû vivre des minutes interminables.
De telles punitions sont « à rallonges », puisqu’elles vont rester longtemps dans l’esprit, et sans cesse ravivées par les regards ironiques de certains et certaines qui y ont assisté, par les petites réflexions ou les messes basses des « bons camarades »…
Oui, dans ce cas, la cuisson des fesses passe beaucoup plus vite que la honte de les avoir montrées.
Cet aspect punitif « psychologique » m’a rappelé des souvenirs, et j’ai décidé de les évoquer ici sous le titre « La honte et les châtiments corporels ».
Par : Florianne
Effectivement, l’humiliation a été terrible, d’autant qu’il y avait des élèves de ma classe qui n’ont pas hésité à raconter aux autres qu’ils avaient vu mes fesses et que ma mère m’avait donné la fessée déculottée devant tout le monde.
Mais au moins j’ai pu me reculotter. Car je connaissais une amie au collège qui m’avait dit que chez elle, quand elle était punie, elle devait rester au coin les fesses à l’air même en présence de témoins s’ils avaient des gens chez eux !
Par : Remi
Bonjour,
Comme votre amie il en était de même pour moi, les punitions corporelles étaient systématiquement suivies d’une exposition plus ou moins longue au piquet.
Souvent même, quand la fessée était prévue à l’avance, je me retrouvais au coin les fesses à l’air avant l’application du châtiment.
Cela m’est arrivé à la maison comme je l’ai raconté récemment lors d’une réunion de famille (réunion de famille deux fessées de concert) ou en extérieur par une monitrice du patronage.
Le fait qu’il y ait du public ne changeait rien à l’affaire, la honte s’en trouvait amplifiée.
Pour ce qui est du reculottage il était tout simplement différé !
Cordialement, Rémi
Par : JMD
La mise au coin fait partie de la punition. Et je pense que plus les années passent, plus cette séquence de la punition est indispensable, pourvu que les fesses restent déculottées. Surtout pour une fille, devant tout le monde, à partir d’un certain âge.
La suite de la fessée peut être aussi la mise à genoux avec les mains au-dessus de la tête, bien en évidence au milieu de la pièce et toujours culotte baissée.
Par : CLAUDE
Bonjour Floriane. Je partage tout à fait votre avis :la honte participe à la correction, quand elle n’est pas plus douloureuse, moralement, que les claques sur les fesses. Je n’ai jamais subi une correction aussi humiliante que la vôtre. Pour autant, j’ai été ainsi corrigé une fois que je ne suis pas près d’oublier. Je l’ai décrit dans « Les verges :châtiment d’un petit voyeur ». Si vous aviez le temps de lire ce petit récit, j’aimerais savoir si ce que j’ai subi et ressenti correspond à ce que vous avez vécu. Bises. CLAUDE.
Par : Nelly
Bonjour,
Je comprends votre honte et l’horreur que cela a dû être pour vous à ce moment-là. La salopette n’était effectivement pas la meilleure tenue. Une jupe ou une robe sont plus facilement retroussables, mais au moins une fois la punie remise sur pieds, elles retombent et couvrent au moins l’intimité. Mais je pense que vous avez pu aussi le constater.
Je n’ai jamais été fessée en public à part devant des proches à la maison, mais comme votre copine j’avais le droit à la 1/2h de coin bien souvent avec le bas de la jupe coincé dans ceinture, ce qui laisse bien en évidence les fesses rougies.
Ces fessées remontent à longtemps pour vous (quelques années)?
Bises
Par : Florianne
Bonsoir Nelly, ces fessées remontent aux années 80.
Par : Nelly
Les miennes fin des années 70 début des années 80 presque la même époque alors
Par : Florianne
Oui, à l’époque cela se pratiquait encore et je me souviens avoir entendu une accompagnatrice un jour menacer un garçon plus jeune, dans la rue, de le mettre cul nu devant tout le monde.
Par : Emilie
Les miennes, années 2010 à 2015 !!…
Bien récent…
Bises.
Par : Nelly
Oui cela était encore bien courant, moins ouvertement que dans les années 50-60, mais on ne cachait pas quand il y en avait eu une de donnée ou même pour en faire la promesse. Et quand la bêtise était assez assez grave, elle était administrée de suite.
De nos jours, ce n’est plus le cas et même si elle est encore présente, elle est administrée en privé, que e cela ne se sache pour éviter le qu’en-dira-t-on.
Est ce une bonne chose ?
Bises
Par : Nelly
Oui Émilie, cela prouve quel est encore bien utile. Et que pour chacune de celle-ci il était normal de la recevoir bien justifié et que tu en as retiré et mesuré tout le besoin. As-tu dû te reculotter devant ton ou ton fesseur ou ta fesseuse ? Bises
Par : Jean-Paul
Merci Emilie de remettre les choses en place… Tous ces amis ici parlent de fessées… punitions au martinet… déculottages et reculottages…comme des pratiques anciennes, désuètes, dépassées… De l’histoire ancienne en quelque sorte, du temps de la Comtesse de Ségur…. Merci de rappeler qu’il y a encore des parents responsables qui osent encore déculotter leurs chères têtes blondes et leur faire rougir les fesses…. Vos parents sans doute ? Mes deux garçons savent que je suis partisan de ces méthodes si efficaces… et que chez nous le martinet n’est pas un objet de musée.
Par : celine1978
J’ai aussi été en âge de recevoir la fessée dans les années 80. Quel enfant de cette époque n’a pas été menacé au moins une fois d’une fessée devant tout le monde ?
Et quand tout ce monde ne regardait que nous, ma mère ajoutait toujours… « et même que je te descends la culotte ». C’est marrant d’y penser, mais après cela nous étions des petits anges !
Par : CLAUDE
Bonjour Jean-Paul. En vous lisant, je crois rêver ! Il y a donc encore aujourd’hui des parents pour qui: « le martinet n’est pas un objet de musée »! A vous lire, je ne doute pas que vous en usez avec tact et mesure et qu’après avoir corrigé vos « chères têtes blondes » vous leur témoignez l’affection qui, pour moi, est l’incontournable pendant de la sévérité. Merci pour ce témoignage qui est une lueur d’espoir crevant le brouillard des idées reçues contemporaines. Très cordialement. CLAUDE.
Par : Emilie
Oh que oui ! Quelles sont encore bien utiles ces fessées !…
Oui, souvent, je devais me reculotter devant ma fesseuse… J’essayais de faire super vite, mais parfois je mélangeais les pieds ! L’angoisse…
Bisous.
Par : Emilie
Oui Jean-Paul, ce sont mes parents qui me déculottent et me fouettent au martinet !
De bonnes fessées fesses nues que je me prends… Mais j’avoue que, même si sur le moment c’est très désagréable, ça fait tellement du bien !
Bises.