Bonjour à tous ! Pour moi, à partir de 14 ans, quand j’avais fait une bêtise, je savais que ça allait chauffer. « Daniel, viens ici ! » m’appelait ma mère. Elle me sermonnait, me donnait parfois une paire de gifles ou me disait droit dans les yeux « maintenant baisse ton pantalon et ton slip ! » Cet ordre était la plus grande honte que je puisse subir. Et dire qu’aujourd’hui je me fais fesser régulièrement ! C’est devenu indispensable pour mon équilibre.
Par : Daniel so
Par : Jean Philippe
Bonjour Daniel,
A vous lire, je suppose que beaucoup d’années se sont écoulées mais vous êtes toujours accroc à la fessée. Tout comme vous je reçois encore de bonnes fessées déculottées par ma compagne pour mon plus grand bien. Je suis averti par ces propos : « Si tu continues à te comporter ainsi je te déculotte et je te fesse ».
Ces paroles retentissent en moi et me ramènent à mon adolescence où ma mère employait les mêmes termes pour me punir. Je suis resté un éternel gamin ayant besoin d’être corrigé et , je vous assure Daniel, que ma compagne ne me laisse aucune chance de me dérober !
Cordialement
Jean Philippe
Par : Jean Philippe
Bonsoir Floriane,
Le titre de votre récit est bien choisi. Il n’y a pas pire que le déculottage . Je crois que c’est le moment le plus redouté chez un adolescent.
A 12 ans, les garçons et les filles découvrent la puberté.
Quoi de plus humiliant que dévoiler son intimité en public.
C’est pourtant à partir de 13 ans que je reçus le plus grand nombre de fessées déculottées en public. Ma mère ne m’épargnait pas. Elle me déculottait séance tenante avec une telle énergie et une dextérité remarquable que je n’osais bouger. J’étais tétanisé.
Pour exemple, je vous invite à lire le récit : Sécher le brevet …. Mais aussi Souvenirs et autre anecdotes.
J’attends votre réaction
Amicalement. Jean Philippe
Par : Donatien
Bonsoir
Texte émouvant de Floriane : terrible souvenir !
On peut s’indigner d’une fessée en public mais si on admet que la honte fait partie de la punition, il reconnaître que cela reste très limité en tête à tête avec sa propre mère : degré de sévérité supplémentaire, à réserver bien sûr aux fautes ou manquements graves. Mais la jeune Floriane ne se privait pas pour ridiculiser ouvertement cette animatrice, fière de son insolence devant les camarades, mais moins fière après cette fessée !
Elle aurait bien supporté la trentaine de claques, dosage habituel, à la maison, ce n’aurait été qu’un moment à passer.
Douze ans et demi : quelle grande sotte ! les fesses à l’air, allongée en travers des cuisses de Maman ! Le spectacle a dû plaire.
Mais s’agissant d’une jeune fille ne conviendrait- il pas de prendre le maximum de précautions afin que seules les fesses soient montrées ? La punie plutôt à genoux ? Buste bien droit, et enserrée entre les cuisses de la mère ?
Devoir se reculotter, voire se rhabiller, est effectivement une épreuve de plus, surtout dans ces conditions.
Le garçon qui avait cassé un verre récit « une fessée à la cantine », s’était affalé en pleurs sur sa table, pantalon encore défait, la cantinière qui venait d’œuvrer étant retournée à ses fourneaux.
Pour ma part, j’avais été rhabillé par la maîtresse, récit « si c’est lui » : je m’en sortais mieux.
Par : Julie
Bonjour Floriane,
En effet, à 12 ans et demi, nous ne sommes plus des fillettes et se déculotter pour recevoir une fessée et déjà très humiliant, car ce type de correction nous rabaisse au rang de petite fille qui a besoin d’être punie. Mais après, être emberlificotée par les habits et devoir tout retirer pour tout remettre dans l’ordre, c’est le second effet « je montre tout à tout le monde, car je m’y prends mal ». En synthèse, 2 punitions en une. Pas de quoi faire la fière après ça !
Permettez-moi une question, ça se passait à quelle époque ?
Amitiés.
Julie
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
Pour ce qui était du déculottage et du re-culottage à cet âge, Maman s’en chargeait avec la plus grande dextérité. Je n’avais aucune chance de m’y opposer. J’étais littéralement tétanisé. Elle avait pris l’habitude de baisser mon slip et de l’enrouler, m’empêchant ainsi de le remonter.
La fessée administrée, elle me relevait tout sanglotant et frottant mon derrière qui était en feu, j’étais alors incapable de me reculotter. Je n’avais plus 12 ou 13 ans à cet instant mais 5 ans pas tout au plus ! J’en oubliais que j’étais sous le regard du public assistant à ma punition maternelle. J’avais perdu en quelque sorte toute pudeur.
Il a fallu que j’atteigne 15 ans pour prendre enfin conscience que je n’étais plus d’accord pour subir une telle honte.
Amitiés
Jean Philippe
Par : Julie
Bonjour Jean-Philippe,
A 5 ans, la pudeur est une notion abstraite et un enfant n’y fait pas attention. A l’âge de l’adolescence, c’est totalement différent, car notre corps change et la perception du regard des gens sur soi n’est plus la même. On s’imagine qu’il est très critique, car sous des vêtements, on cache notre intimité, ce qui est plus aisé vis-à-vis des autres.
Amitiés
Julie
Par : Floriane
Bonjour Julie, c’était au tout début des années 80. La fessée se pratiquait encore. Une de mes copines y a même eu droit dans la rue devant tout le monde, suit à une insolence, en sortant d’un parc …
Par : Jean Philippe
Bonjour Floriane,
Malgré l’interdiction prononcée par le Parlement s’agissant de fessées à ses enfants, je peux vous assurer que ma compagne, maman de 2 ados continue à utiliser ce mode de punition conformément à ses conceptions en matière d’éducation. L’an passé, elle n’a hésité à donner une fessée déculottée déculottée à son fils de 12 ans, lors d’un pique-nique dans un parc. Personne n’a trouvé déplacée l’attitude responsable de cette maman. Au contraire, certaines personnes ont approuvé cette preuve d’autorité face à un enfant dont les incartades répétées commençaient à devenir gênantes pour tout le monde. N’en déplaise à certains, chez nous, l’enfant-ROI n’existe pas ! Toute parole insolente, tout mensonge éhonté sont sanctionnés, et parfois par une fessée. Il en est de même pour sa fille aînée de 16 ans. C’est ainsi.
Cordialement,
Jean Philippe
Par : Julie
Bonjour Floriane,
Merci de l’éclaircissement sur cette époque. Je n’ai jamais connu pareille mésaventure à l’école, car en 80, je n’étais pas née. C’est instructif de connaître les us et coutumes des époques antérieures. Nous voyons comment la société évolue au fil du temps.
De façon similaire à d’autres personnes, les fessées en public et sur la voie publique y étaient courantes à cette époque. Ça tombait sur-le-champ, là où était commise la faute. Pas plus mal, d’ailleurs, car en plus de la fessée, il y avait la honte d’être les fesses à l’air devant tout le monde et de se donner en spectacle et de façon à ce que l’ado se souvienne pour évoluer dans le bon sens par la suite.
Amitiés.
Julie
Par : serge
Bonjour à toutes et à tous, je confirme qu’il n’était pas si rare dans les années 70 d’assister à des fessées publiques qu’il s’agisse de l’école, voire du collège ou de lieux divers. J’ai pu pour ma part contempler plusieurs de ces fessées, chez des commerçants, à la plage, dans des jardins publics (deux à un minigolf). Il est vrai qu’il s’agissait le plus souvent d’enfants de moins d’une dizaine d’années, mais pas seulement puisque, outre les mésaventures de ma sœur cadette, déjà évoquées largement par ailleurs, soit j’ai vu, soit entendu rapporter plusieurs fessées déculottées infligées publiquement à des prés ados de douze à seize ans, sans que cela choque grand monde, bien au contraire.
Par ailleurs, cher Jean Philippe, à ma connaissance, vous n’avez pas répondu aux questions d’Emilie et de Julie ; avez-vous déjà été fessé en présence des enfants de votre compagne ?
Bien sympathiquement,
Serge
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
Dans le commentaire que vous adressez à Floriane, vous dites être née après 1980. Je vous croyais un petit peu plus âgée compte tenu des récits et propos que j’ai pu glaner. J’ai une fille née en 1986. Auriez vous le même âge ? En tout cas je voulais vous féliciter pour votre maturité, votre bon sens sur l’éducation.
Vous avez comme ma fille le même ressenti d’une éducation stricte et vous serez certainement une maman aimante si vous ne l’êtes pas déjà. Ma fille n’est pas encore maman, privilégiant sa carrière professionnelle. Elle me fait souvent la remarque suivante: » Quand j’entends certains enfants parler de manière impertinente à leurs parents, ma main me démange ! »
Bises
Jean Philippe
Par : Jean Philippe
Bonjour Serge,
Je vous invite à lire le commentaire que j’adresse à Emilie suite au récit intitulé : » Ma première fessée à l’école » Vous aurez ainsi la réponse.
Je confirme votre analyse durant les années 70 . Mais dans les années 60, la fessée était encore plus répandue, que ce soit à l’école ou dans les familles.
Je serais curieux de savoir comment se sont comportés les parents durant le confinement et si la fessée n’a pas resurgit dans certains foyers à cause de tensions des tensions parfois inévitables.
Cordialement,
Jean Philippe
Par : Julie
Bonjour Jean-Philippe,
En effet, je suis même née après 1986. Je garde mon âge pour moi. Merci pour ma maturité, elle est sûrement issue de mon éducation ! On dit toujours qu’on reproduit l’éducation que l’on a reçue. Je pense que j’appliquerai cette règle. Mais si je peux éviter de fesser mes futurs enfants, je le ferai, à moins que la méthode douce ne fonctionne pas… Ce qui a été le cas avec moi.
Amitiés.
Julie
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
Je suis tout à fait d’accord avec vous. J’ai toujours privilégié le dialogue avec mes 3 enfants. Mon épouse , moins à l’aise pour clarifier la situation, employait la méthode forte à savoir la fessée.
Ma compagne actuelle, plutôt susceptible, procède de la même manière. Je suis parfois surpris par sa sévérité vis-à-vis de ses 2 enfants, mais je la laisse mener à sa guise leur éducation, sachant que je n’ai aucune autorité dans son foyer, n’étant pas leur père.
Amitiés
Jean Philippe
Par : celine1978
CC’est vrai que, certaines fois, en voyant des enfants, ont ne peut pas s’empêcher de penser à ça. Un jour alors que nous étions chez une amie avec ma fille (elle avait 16 ans), le fils de mon ami (10 ans) n’a pas arrêté de très mal parler à sa maman. La maman ne disait rien quand tout à coup, ma fille dit au garçon « Moi à ta place, je n’aurais jamais osé parler comme cela à ma maman, et si j’avais osé, elle aurait baissé mon pantalon et ma petite culotte devant vous et j’aurais pris une sacrée fessée !… et même que je serais au coin toujours cul nu ».
Le petit garçon ne savait plus où regarder, sa maman étant encore plus mal que lui. Mais le plus est qu’ensuite nous avons parlé de fessées, ma fille démontrant à la maman l’efficacité de la fessée et qu’il était était normal pour elle d’en recevoir.
Julie, j’ai aussi décidé d’éviter d’en donner et ça marche bien, même si quelques fois il en faut une pour rappeler le respect des règles. Avec mon mari, nous avions fixé que nous devions toujours donner un avertissement : »si tu continues, tu vas recevoir la fessée ».
Le seul cas où la fessée était donnée sans prévenir était l’insolence (comme avec le garçonnet de mon amie). Ma fille avait parfaitement raison : elle aurait été fessée sur-le-champ devant eux.
Par : Julie
Bonjour Jean-Philippe,
Pour l’éducation des deux enfants de votre compagne, laissez-la faire. Ça la regarde. Ce sont ses enfants et elle doit savoir ce qui est bon pour eux, tant qu’elle ne les blesse pas. La sévérité est souvent un crescendo dans les punitions, soit par répétitions des fautes des enfants, soit par leur gravité. Et puis, il y a peut-être une antériorité que vous ne connaissez pas et qui explique cette fameuse sévérité. Encore une fois, c’est son vécu avec ses enfants. Elle doit savoir ce qu’elle fait. Mais ce n’est que mon avis avec un regard extérieur au sujet.
Amitiés.
Julie
Par : Julie
Bonjour celine1978,
Et bien, je vois que nous sommes sur la même longueur d’ondes. Le fait de prévenir avant de donner la fessée est primordial. Un enfant n’a, par défaut, pas le limites. Si on ne lui en donne pas, il ne peut pas l’inventer seul. Lorsque les règles sont posées, s’il ne s’y conforme pas, alors ça tombe (ça a été l’éducation voulue par mes parents et je pense que je n’ai pas reçu toutes les fessées que je méritais). La seule différence c’est que mes parents attendaient toujours que nous soyons rentrés à la maison pour me corriger. Jamais en public. J’ai été chanceuse sur ce coup-là. D’autres parents n’auraient pas hésité, je pense, quel que soit l’endroit.
Amitiés.
Julie.
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
Ayant été souvent fessé en public étant enfant ainsi qu’à l’adolescence, je n’ai pas voulu faire subir à mes enfants le même sort. Mon épouse raisonnait pareillement. Nous les avertissions que, dès notre retour à la maison, la fessée serait administrée sans concession.
Ma compagne d’aujourd’hui ne diffère jamais la fessée, quel que soit le lieu et qu’il y ait du monde ou pas. Son fils de 12 ans est en pleine crise de pré ado et se prend assez souvent des fessées en public.
Amitiés
Jean Philippe
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
Si, je connais parfaitement comment s’est passée l’enfance de ma compagne. Nous en avons parlé souvent. Elle ne m’a rien caché et moi non plus. Je comprends mieux sa façon d’agir mais préfère qu’elle soit plus sévère vis-à-vis de moi que vis-à-vis de ses enfants.
On dit souvent que l’on reproduit ce que l’on a connu. Personnellement, j’ai pu occulter ce que j’ai pu subir pour ne pas reproduire les mêmes méthodes avec mes enfants.
Néanmoins, je suis convaincu qu’il n’y a aucune volonté de maltraitance venant de ma compagne, mais bien volonté de les éduquer comme il faut selon d’excellents préceptes, sinon je ne partagerai plus ma vie à ses côtés .
Amitiés
Jean Philippe