CC’est vrai que, certaines fois, en voyant des enfants, ont ne peut pas s’empêcher de penser à ça. Un jour alors que nous étions chez une amie avec ma fille (elle avait 16 ans), le fils de mon ami (10 ans) n’a pas arrêté de très mal parler à sa maman. La maman ne disait rien quand tout à coup, ma fille dit au garçon « Moi à ta place, je n’aurais jamais osé parler comme cela à ma maman, et si j’avais osé, elle aurait baissé mon pantalon et ma petite culotte devant vous et j’aurais pris une sacrée fessée !… et même que je serais au coin toujours cul nu ».
Le petit garçon ne savait plus où regarder, sa maman étant encore plus mal que lui. Mais le plus est qu’ensuite nous avons parlé de fessées, ma fille démontrant à la maman l’efficacité de la fessée et qu’il était était normal pour elle d’en recevoir.
Julie, j’ai aussi décidé d’éviter d’en donner et ça marche bien, même si quelques fois il en faut une pour rappeler le respect des règles. Avec mon mari, nous avions fixé que nous devions toujours donner un avertissement : »si tu continues, tu vas recevoir la fessée ».
Le seul cas où la fessée était donnée sans prévenir était l’insolence (comme avec le garçonnet de mon amie). Ma fille avait parfaitement raison : elle aurait été fessée sur-le-champ devant eux.
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Par : celine1978
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