Bonsoir Floriane,
Le titre de votre récit est bien choisi. Il n’y a pas pire que le déculottage . Je crois que c’est le moment le plus redouté chez un adolescent.
A 12 ans, les garçons et les filles découvrent la puberté.
Quoi de plus humiliant que dévoiler son intimité en public.
C’est pourtant à partir de 13 ans que je reçus le plus grand nombre de fessées déculottées en public. Ma mère ne m’épargnait pas. Elle me déculottait séance tenante avec une telle énergie et une dextérité remarquable que je n’osais bouger. J’étais tétanisé.
Pour exemple, je vous invite à lire le récit : Sécher le brevet …. Mais aussi Souvenirs et autre anecdotes.
J’attends votre réaction
Amicalement. Jean Philippe