Bonsoir Claude, merci d’avoir pris ma question avec le sourire et d’y répondre en toute franchise. Vous avez connu par deux fois la honte d’une fouettée en public qui vous a laissé « un goût particulièrement amer ». Que devrais-je en conclure sinon que cette mortification passagère ne vous a pas empêché de vous entêter dans vos mauvais penchants ? Ou que vos parents auraient manqué de fermeté dans leurs leçons ? Quoi qu’il en soit, je vous renouvelle mes sentiments amicaux. Edmée
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